Les démarches pour être pris en charge par l’Aide sociale à l’Enfance prennent parfois des mois pendant lesquels, comme ils le racontent à “Libé”, les jeunes exilés sont livrés à eux-mêmes. Une situation rendue encore plus complexe par la crise sanitaire.
Voyez les articles du journal Libération en date du 6 octobre 2020