Le collectif 100 pour 1 toit du Relecq-Kerhuon organise, le samedi 11 septembre 2021, une soirée-débat avec Kofi Yamgnane sur son parcours et son expérience du racisme, à l’occasion de la sortie de son livre : “Mémoires d’outre haine”.
Tous les détails sur cette soirée dans ce flyer.
Le 100 pour un toit du Relecq-Kerhuon a sorti sa newsletter de rentrée. Vous la trouverez à l’adresse :
https://mailchi.mp/ede87739d68f/100-pour-1-toit-le-relecq-kerhuon-newsletter-printemps-15059535?e=2e05f58876
L’association a tenu son assemblée générale le 18 juin au centre social Les Horizons, à Brest.
Un compte rendu suivra…
En attendant, voici un aperçu dans le Télégramme du 22 juin.
La situation devient très difficile, avec de plus en plus de familles à loger et des familles menacées de perdre leur logement
Ouest France (Nord-Finistère), 3 Jun 2021
La mobilisation contre l’expulsion des deux collégiennes de l’Harteloire, se poursuit. Deux pétitions sont en ligne.
Ouest France (Nord-Finistère), 3 Juin 2021, La mobilisation Jade SIMON.
A Bourg en Bresse, des OQTF (obligation de quitter le territoire français) ont touché cinq compagnons dans une communauté Emmaüs. Retentissements… Réflexions…
En France, la loi est une grande machine à produire continuellement de nouveaux sans-papiers. Pour le plus grand bénéfice de l’économie de la sous-traitance qui a besoin d’un réservoir constant d’ouvriers non déclarés.
Lisez cet article du journal Libération qui analyse cette situation avec un éclairage intéressant.
Une famille tchétchène de demandeurs d’asile politique vient s’installer à Ploudiry. Pour leur offrir une vie décente, l’association Digemer de Brest veut créer un collectif.
- Le Télégramme – Landerneau – Lesneven, 5 Mai 2021
- Ouest France (Nord-Finistère), 21 Apr 2021
Plus de 70 personnes se sont réunies, hier matin, pour manifester leur soutien à la famille de Miléna, menacée d’expulsion.
La Croix, 10 avril 2021
Nathalie Birchem
Dans un rapport, que La Croix publie en avant-première, le Service jésuite des réfugiés estime que la France est à la traîne sur l’intégration des demandeurs d’asile au marché du travail.