« On n’a rien pour dormir. La nuit, on marche »
Depuis les évacuations de campements à Saint-Denis et à Paris, en novembre, des migrants se retrouvent en situation d’errance, dans un dénuement total. « Le Monde » a pu suivre une maraude qui leur vient en aide
- Le Télégramme – Brest, 23 Dec 2020
Le collectif local 100 pour 1 toit LRK continue d’agir pour mettre à l’abri des personnes migrantes. Quatre familles sont actuellement accompagnées et une autre est dans l’attente d’un logement. Le point avec Christelle Balanant.
Le Cent pour un toit Paul Masson accueille un couple d’Albanais, Nezhia et Selim. Il a diffusé sa première newsletter en direction de ses donateurs. Extraits.
“Bons” et “mauvais” migrants : quels sont les critères utilisés et sur quelle base pour faire ce classement ? Le document de La vie des idées montre que ces critères ont changé au cours des dernières décennies. Il éclaire les débats qui ont cours sur ce thème.
Le Télégramme publie, le 11 décembre 2020 deux articles, à l’initiative de Jean Miossec, secrétaire de Digemer et de Tristan Foveau, vice-président de Brest-Métropole, pour réclamer un droit au travail des étrangers, distinct d’un droit au séjour qui tarde toujours à venir quand il n’est pas refusé. Cet article explicite les motivations de cette démarche.
- Le Télégramme publie, le 11 décembre 2020, deux articles, à l’initiative de Jean Miossec, secrétaire de Digemer et de Tristan Foveau, vice-président de Brest-Métropole, pour réclamer un droit au travail des étrangers, distinct d’un droit au séjour qui tarde toujours à venir quand il n’est pas refusé. En soutien de cette revendication, cet article publie le témoignage de Elidon et Sonila (prénoms changés dans l’article), hébergés par le Cent pour un toit de Brest Kerinou, affilié à Digemer.
Le collectif cent pour un toit Brest mêm’ communique des nouvelles de la famille qu’il héberge. Extraits.
L’accueil des immigrants par les pays riches est un facteur de prospérité. Voilà un fait établi par des économistes qui contredit bien des idées reçues.
Le Courrier international du 26 novembre 2020 en témoigne.
Selon un rapport de l’ONU de 2019, plus d’une Albanaise sur deux serait victime de violences domestiques. Conservatrices, les sociétés des Balkans de 2020 se font plus l’écho d’une virilité inepte que de l’émancipation féminine.
Voyez l’article du journal Libération du 26 novembre 2020.
L’Adsp (Actualité et dossier en santé publique, revue trimestrielle du Haut Conseil de la santé publique) a publié en juin 2020 un dossier intéressant et très documenté sur : Qui sont les migrants ? Quel est leur état de santé ? A consulter !