Le Cent pour un toit Les Yannicks de Recouvrance, affilié à Digemer, communique des infos à ses donateurs. Extraits de la newsletter.
Catégorie : Général Page 13 of 30
L’Île-de-France concentre à elle seule la moitié des demandes d’asile du pays. L’État prévoit d’orienter les migrants vers d’autres régions, «déficitaires» en termes d’accueil de réfugiés.
Le Figaro. Steve Tenré. Publié le 08/01/2021 à 14:41
Digemer-Ploudalmézeau en quête d’un logement
- Ouest France (Nord-Finistère) 7 Jan 2021
Le collectif « 100 pour un toit », rattaché à l’association Digemer de Brest, aide à l’hébergement d’une famille de réfugiés originaires d’Albanie. Depuis bientôt trois ans, le couple et ses trois enfants résident à Portsall. « Or, le logement qu’ils occupent depuis leur arrivée ne sera plus disponible dans quelques mois », regrettent les membres du collectif.
Coupable d’avoir voulu une vie meilleure pour son fils ?
Yahya, Afghan de 5 ans, s’est noyé début novembre près des côtes grecques. Rescapé, son père a été inculpé pour abandon d’enfant et risque dix ans d’emprisonnement.
Récit dans “Libération“.
« On n’a rien pour dormir. La nuit, on marche »
Depuis les évacuations de campements à Saint-Denis et à Paris, en novembre, des migrants se retrouvent en situation d’errance, dans un dénuement total. « Le Monde » a pu suivre une maraude qui leur vient en aide
- Le Télégramme – Brest, 23 Dec 2020
Le collectif local 100 pour 1 toit LRK continue d’agir pour mettre à l’abri des personnes migrantes. Quatre familles sont actuellement accompagnées et une autre est dans l’attente d’un logement. Le point avec Christelle Balanant.
Le Cent pour un toit Paul Masson accueille un couple d’Albanais, Nezhia et Selim. Il a diffusé sa première newsletter en direction de ses donateurs. Extraits.
“Bons” et “mauvais” migrants : quels sont les critères utilisés et sur quelle base pour faire ce classement ? Le document de La vie des idées montre que ces critères ont changé au cours des dernières décennies. Il éclaire les débats qui ont cours sur ce thème.
Le Télégramme publie, le 11 décembre 2020 deux articles, à l’initiative de Jean Miossec, secrétaire de Digemer et de Tristan Foveau, vice-président de Brest-Métropole, pour réclamer un droit au travail des étrangers, distinct d’un droit au séjour qui tarde toujours à venir quand il n’est pas refusé. Cet article explicite les motivations de cette démarche.
- Le Télégramme publie, le 11 décembre 2020, deux articles, à l’initiative de Jean Miossec, secrétaire de Digemer et de Tristan Foveau, vice-président de Brest-Métropole, pour réclamer un droit au travail des étrangers, distinct d’un droit au séjour qui tarde toujours à venir quand il n’est pas refusé. En soutien de cette revendication, cet article publie le témoignage de Elidon et Sonila (prénoms changés dans l’article), hébergés par le Cent pour un toit de Brest Kerinou, affilié à Digemer.